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Philippe Couture a rencontré le candidat du PQ

Arthabaska: Alex Boissonneault «peut parler pendant 15 minutes avec quelqu'un»

Arthabaska: Alex Boissonneault «peut parler pendant 15 minutes avec quelqu'un»
Arthabaska: Alex Boissonneault «peut parler pendant 15 minutes avec quelqu'un» / Montge Félix-Antoine Bétil / FM93 / La Presse Canadienne

En reportage à Victoriaville, le candidat péquiste Alex Boissonneault a choisi de rencontrer des travailleurs de la santé à la sortie de leur quart de travail pour discuter et distribuer des dépliants, accompagné de notre animateur Philippe Couture.


C'est une approche différente du porte-à-porte habituel. 

Lors de la rencontre, Alex Boissoneault a dénoncé l'utilisation par Éric Duhaime de citations d'analystes politiques hors-contexte, ce qui a aussi été critiqué par le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon.

L'un des enjeux de la campagne électorale qu'Alex Boissoneault et Philippe Couture ont pu observer, c'est le manque de terrain pour la construction de maisons.

J'ai fait des recherches, il n'y a pas de terrain. En fait, s'il y en a, c'est soit que c'est des zones inondables ou des rikiki terrains. Ça a l'air que la ville met vraiment un frein sur le développement. Moi, je veux habiter à Victoriaville et je veux pouvoir me faire construire et pour ça, ça me prend un terrain, donc sinon il va falloir que je déménage de région, mais ça ne me tente pas vraiment.

Philippe Couture récolte aussi le témoignage d'un homme qui prévoit voter pour Alex Boissoneault du Parti Québécois, et ce, sans être indépendantiste.

Moi c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas, la souveraineté du Québec. Je pense qu'on est plus forts quand on est unis et qu'on abolit les frontières, donc si on fait juste en ajouter, je crois que ça fait juste nous diviser. 

Une autre électrice a interpellé le candidat péquiste au sujet de la culture.

À Victoriaville, on n'a pas de maison de la culture à la grosseur de la ville qu'on a. Pour les organismes en arts et culture qui veulent se produire, on n'a pas de place pour le faire.

La Presse Canadienne

Source: La Presse Canadienne

En résumé, Philippe Couture explique qu'il se trouvait plus dans la familiarité avec Éric Duhaime lors de son reportage avec le chef conservateur et davantage dans la politique et les réponses concrètes avec Alex Boissoneault, et qu'aucune approche n'est nécessairement meilleure que l'autre.


Écoutez le reportage complet dans l'extrait ci-dessus

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