La juge à la retraite Nicole Gibeault estime que la participation à un documentaire de la victime d'Harold Lebel n'a pas eu d'influcence dans le verdict rendu hier.
La description que la victime a donné devant le tribunal, c'est une chose, le documentaire c'est une autre chose. Moi c'est le contenu du documentaire [qui m'intéresse]; si on avait eu la chance de voir quelle version elle avait donné.
Dans tous les cas, elle explique que c'est la couronne qui a réussi à démontrer hors de tout doute raisonnable que Lebel était coupable.
On a cru la victime. Hors de tout doute raisonnable, on n'a pas accepté la version, d'aucune façon, d'Harold Lebel.
Écoutez son analyse complète dans l'extrait ci-dessus.