Le Journal de Montréal a publié une enquête où plusieurs Québécois racontent leurs expériences en hôpital avec des médecins unilingues anglophones.
Plusieurs québécois se sont effet retrouvés dans l'impossibilité de communiquer avec du personnel médical.
Certains citoyens rapportent même des cas de mauvaises prescricptions dû à la barrière de la langue.
Des témoignages qui ont fait réagir l'animateur de l'émission Que Québec se Lève, François Jacques.
Ma première réaction, c'est de me dire que ça a pas de maudit bon sens. Ma deuxième réaction, c'est de me dire que c'est un risque qu'on prend. Tu peux demander à un spécialiste de faire son possible pour parler français, mais si le spécialiste est un unilingue anglophone est-ce qu'on va lui refuser de pratiquer au Québec sous ce prétexte là?
Des propos qui ont fait réagir sa coanimatrice, Ann-Frédéric Pelletier.
Si je prends l'exemple de la mère qui est allé voir un dermatologue pour son fils. Ils ont donné le mauvais médicament. L'enfant avait trois ans et ils ont donné un médicament déconseillé aux enfants de moins de 8 ans. Il peut y avoir des dangers et des conséquences graves.
On écoute François Jacques...