Écoutez Jonathan parler de sa lecture du livre «Les Têtes brûlées : carnets d’espoir punk», de l'ex-députée solidaire, Catherine Dorion.
Il raconte qu'il n'a pas du tout été impressionné par le récit de l'ancienne élue, qui se positionne comme victime tout au long de l'ouvrage.
En aucun moment dans le livre, elle fait ne serait-ce qu'une parcelle d'introspection, de jugement critique sur son travail, de recul, de perspective.
Il mentionne aussi ne pas du tout acheter la façon dont Gabriel Nadeau-Dubois est dépeint à travers le livre, comme étant un despote misogyne et contrôlant. Une « obession », selon lui.
Ce livre-là, c'est un exercice déprimant. J'ai gâché ma fin de semaine pour faire mon travail. Ce n'est que ça: être victime, régler ses comptes, dépeindre Gabriel Nadeau-Dubois comme étant un despote, puis réduire le rôle de Manon Massé d'une façon épouvantable, comme si Manon Massé s'écrasait tout le temps devant Gabriel Nadeau-Dubois.
Écoutez sa critique complète dans l'extrait ci-dessus.