Les automobilistes de Québec pourraient être les seuls à encaisser une hausse de la taxe sur l'immatriculation l'an prochain pour compenser le déficit du Réseau de transport de la Capitale.
Lévis, Saint-Augustin et L'Ancienne-Lorette ont toutes opté pour le statu quo alors que le maire de Québec poursuit sa réflexion.
Il reproche par le fait même au gouvernement Legault d'avoir pelleté les problèmes de financement du transport en commun dans la cour des villes, en leur permettant de hausser la taxe sur l'immatriculation.
Bruno Marchand admet toutefois qu'avant de trancher, il devra tenir compte de la posture des villes voisines qui bénéficient aussi des services du RTC.
Il ajoute que les autres options sont limitées: soit plus de taxes foncières ou des coupures de services.
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