Pourquoi les dirigeants du crime organisé peuvent-ils continuer à gérer leurs opérations en prison? De multiples drônes et téléphones cellulaires circulent en toute impunité dans les établissements de détention du Québec.
Au micro de Bouchard en parle, Tristan Péloquin de La Presse révèle que malgré une exception légale permettant à la GRC d'utiliser des brouilleurs d'ondes dans les prisons, cela n'est pas mis en œuvre, possiblement en raison de la complexité technique et des ressources nécessaires.
Les compagnies de téléphone exercent aussi une pression pour éviter les perturbations de service, ce qui contribue à la difficulté d'implémenter des brouilleurs.
Écoutez l'entrevue complète dans l'extrait ci-dessus.