Katherine a utilisé le «Guichet d'accès à la première ligne» (GAP) et une médecin lui a prescrit un médicament à risque de lui causer des caillots de sang... sans questions approfondies.
L'accès aux soins de santé publics est au cœur des débats, notamment avec la loi 2 et la façon dont sont rémunérés les médecins.
Dans Trudeau-Landry, Katherine raconte, faute de médecin de famille, avoir dû passer par le Guichet d'accès de première ligne (GAP), pour des enjeux hormonaux. Le rendez-vous fut expéditif et a mené à la prescription d'une pilule contraceptive.
Un an plus tard, pour un simple renouvellement, elle se tourne vers un service de télémédecine privé. C'est là que l'infirmière praticienne fait une découverte inquiétante: la pilule prescrite lui faisait courir un risque doublé de faire un caillot au cerveau.
Cette histoire met en évidence un enjeu crucial: la «médecine fast-food» devient-elle un effet pervers du GAP?
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