Épisodes
- À la veille du match d’ouverture locale face au Kraken de Seattle, Martin St-Louis nous ouvre la porte de son vestiaire… et de sa philosophie. Dans cet entretien profondément humain, l’entraîneur-chef du Canadien revient sur l’annonce du nouveau contrat de Lane Hutson – un moment qu’il a personnellement partagé avec son groupe. St-Louis a choisi de l’annoncer directement à l’équipe, sur la glace, pendant l’entrainement. « Les gars étaient contents, c’est un groupe qui s’aime, qui n’est pas égoïste. » Pour lui, le succès collectif passe avant tout par des relations solides, bâties sur la confiance, le respect et l’honnêteté. « Je les traite comme mes enfants. J’ai un lien avec tout le monde, une relation différente avec chaque personne. » Dans un sport aussi exigeant, Martin rappelle que le mental doit dominer l’émotion : « Il faut que ton mental soit plus fort que tes émotions, surtout dans les moments importants. » Il n’hésite pas à challenger son groupe pour les pousser à 100%, tout en reconnaissant que le droit à l’erreur est essentiel : « Je me cache pas. Donne-moi ta vérité, et on arrivera à LA vérité. » Selon lui, la force du Canadien, c’est son jeu collectif. Une dynamique qu’il chérit et protège. Ce qui l’inspire comme coach? « Voir mes joueurs travailler aussi fort, même si le succès n’est pas garanti… c’est ça qui m’inspire. Mon équipe m’a énormément inspiré l’an passé. » Martin McGuire revient avec nous sur l’ambiance qui régnait lors de la reprise de l’entraînement du Canadien au Centre Bell. Si la préparation en vue du premier match à domicile allait bon train, l’attention des médias s’est rapidement tournée vers une nouvelle de taille : la signature du jeune défenseur Lane Hutson. À seulement 22 ans, Hutson décroche un contrat de 8,85 M$ par saison, devenant ainsi le deuxième joueur le mieux payé de l’équipe derrière Noah Dobson (9,5 M$). Martin fait le point sur l’impact de ce contrat, la hiérarchie salariale actuelle chez le CH (Laine, Caufield, Suzuki, Slafkovsky, Gallagher et Anderson), et ce que cela signifie pour l’avenir de l’organisation, notamment avec la fin prochaine du contrat de Patrik Laine et ceux de Gallagher et Anderson. Tony Marinaro revient sur la victoire du Canadien samedi soir à Chicago — un gain de 3-2 qui, selon lui, reflète bien l’identité du groupe : une équipe soudée, unie, « Martin St-Louis cherche la perfection. Et ça paraît. » Tony enchaîne avec son analyse sur la signature du jeune Lane Hutson, un contrat qu’il anticipait depuis un bon moment, mais dont il se dit très satisfait, autant sur le plan sportif que financier. Il prend soin d’expliquer la structure salariale de l'entente, notamment en ce qui concerne les bonis de signature, qui représentent une portion significative du montant total. Mais ce n’est pas tout : Marinaro lève aussi le voile sur les dessous de la négociation, soulignant l’impact médiatique autour du dossier : « Il y a des personnes qui ont parlé aux Canadiens… et il y a des personnes qui ont parlé au camp Hutson. »Et pendant que tout le monde savoure la victoire et célèbre la prolongation de contrat de Hutson, les partisans ont déjà un œil sur l’avenir : « Tout le monde à Montréal veut voir Demidov sur une ligne avec Zachary Bolduc… mais qui sera au centre? lance Mario. »
- Mario Langlois reçoit l’ancien joueur de la LNH Maxime Talbot, qui partage avec authenticité ses réflexions sur le hockey d’aujourd’hui et sur son propre parcours. Il débute en évoquant l’excellente atmosphère qui règne actuellement dans le vestiaire du Canadien, un élément qu’il juge fondamental pour bâtir une culture gagnante. À ses yeux, cette équipe est plus près de la Coupe Stanley qu’on pourrait le croire, une situation qui lui rappelle les Penguins de Pittsburgh de la saison 2006-2007, alors en pleine ascension. Talbot insiste sur l’importance d’un noyau de leadership solide dans une organisation. Il revient d’ailleurs sur son propre développement, marqué par son passage dans les rangs juniors sous la direction de Benoît Groulx, un entraîneur exigeant qui l’a aidé à devenir un joueur plus complet et plus responsable. Il confie également avoir cessé complètement la consommation d’alcool depuis quelques mois, une décision qui, selon lui, a eu un impact direct et positif sur sa santé physique, son énergie et sa clarté d’esprit. Il partage au passage quelques souvenirs de vestiaire, parfois empreints d’un esprit « bon vivant », mais toujours révélateurs de la camaraderie propre aux équipes soudées. L’entretien aborde aussi la réalité des joueurs qui changent d’organisation, et les défis d’adaptation que cela représente. Talbot revient sur ses années dans la KHL, où lui et sa conjointe ont été, dit-il, très bien accueillis, logés et nourris. Il garde un excellent souvenir de cette ligue, qu’il décrit comme très compétitive et bien structurée. Sur un ton plus personnel, il évoque le privilège de jouer dans la LNH, les sacrifices que cela exige, et l'importance d'« avoir tous ses outils autour de sa ceinture » pour affronter les aléas d’une carrière professionnelle. Il se permet même un moment d’émotion en entonnant quelques-unes de ses chansons préférées, dont L’Escalier de Paul Piché, qui résonne pour lui comme une métaphore d’une étape marquante de sa vie. L’épisode se conclut sur une anecdote marquante liée à Mario Lemieux, qui avait personnellement écrit à chacun des joueurs de l’équipe à la veille de ce que Talbot qualifie du plus grand match de sa vie. Ce geste, selon lui, témoigne du leadership exceptionnel de Lemieux. Enfin, interrogé sur l’avenir de Sidney Crosby, Talbot sourit à l’idée que ses valises soient peut-être prêtes, mais rappelle que le modèle de Crosby est justement Lemieux, qui est resté à Pittsburgh toute sa carrière. Comme il le dit si bien : « La décision finale revient à Crosby ».
- Dans cet épisode du Premier Trio, Alexandre Pratt, Stéphane Waite et Tony Marinaro livrent leurs premières impressions sur le début de saison du Canadien de Montréal, alors que l’équipe affiche un rendement encourageant après ses premiers matchs. Alexandre Pratt se montre satisfait de constater que la production offensive ne repose pas uniquement sur le premier trio. Toutefois, il s’interroge sur la performance de Patrik Laine à cinq contre cinq, un joueur dont le trio n’a généré que très peu de chances de marquer depuis le début de la saison. Il note également que le jeune gardien Jakub Dobeš, malgré quelques excès d’enthousiasme dans son style, parvient à faire le travail efficacement. Pratt soulève aussi une question intrigante : entre Zachary Bolduc, Patrik Laine et Juraj Slafkovsky, qui terminera la saison avec le plus grand nombre de buts? Son instinct le pousse à croire que ce sera Bolduc. Tony Marinaro, de son côté, reconnaît les difficultés de Laine à s’intégrer dans la dynamique actuelle de l’équipe, évoquant un manque de chimie avec certains coéquipiers. Selon lui, Laine est un joueur habitué à contourner le jeu plutôt qu’à s’imposer. Contrairement à Pratt, il demeure prudent face à la production de Bolduc en début de saison et mise plutôt sur Laine pour finir en tête parmi les trois. Il souligne également le rendement solide de Brendan Gallagher, qu’il considère comme un élément moteur dans ce début de campagne. Stéphane Waite partage une perspective technique en ce qui concerne Lane Hutson, qu’il juge moins dominant que la saison précédente, sans toutefois remettre en cause son potentiel. Il insiste sur le fait que Laine doit être utilisé de manière optimale sur la première unité en avantage numérique, où son tir représente un véritable atout. Waite s’attarde également au cas de Jakub Dobeš, qu’il voit possiblement émerger comme gardien numéro un à court terme. Il fait d’ailleurs un parallèle intéressant avec l’éclosion d’Antti Niemi à Chicago, à une époque où il était lui-même entraîneur des gardiens. Concernant la course aux buts, Waite penche lui aussi pour Bolduc et rappelle que Kapanen, souvent perçu comme un choix de profondeur, a tout de même été sélectionné au deuxième tour.
- Antoine Roussel ouvre la discussion avec une anecdote personnelle sur Maxime Talbot, offrant un clin d’œil à l’univers des joueurs et à la culture du vestiaire. Il se penche ensuite sur le rendement actuel du Canadien, qu’il considère comme une équipe plus rapide que celle de l’an dernier. Pour lui, la victoire de 5 à 1 face aux Red Wings ne laisse place à aucune ambiguïté : dans son livre, il s’agit d’une véritable varlope. Il se dit également impressionné par le travail de Zachary Bolduc, un jeune joueur dont l’éthique et l’impact sur la glace retiennent son attention. En ce qui concerne Ivan Demidov, il estime que l’organisation devrait lui accorder davantage de temps sur l’avantage numérique afin de mieux exploiter son potentiel offensif. Antoine Roussel aborde aussi la question du plafond salarial et de la stabilité à long terme. Il souligne qu’il serait essentiel que Lane Hutson signe un contrat d’une valeur maximale de 10 millions de dollars, afin de préserver un équilibre dans la structure salariale du club. Tout en reconnaissant le talent du jeune défenseur, il précise que, selon lui, Lane Hutson ne possède pas encore toutes les qualités requises pour être un pilier incontesté. Hugues Léger, spécialiste en marketing sportif, et Mario Langlois abordent l’importante entente conclue entre RDS, TSN et la Ligue nationale de hockey, une entente qui soulève des questions cruciales quant à la survie et à la compétitivité des réseaux francophones, notamment RDS et TVA Sports, dans un marché en constante évolution. La discussion se poursuit avec le cas de Cristiano Ronaldo, devenu le premier athlète actif à atteindre le statut de milliardaire. Hugues Léger examine ce que ce jalon signifie pour l’industrie du marketing sportif mondial et pour la monétisation de l’image des athlètes. Ils explorent également la récente annonce de LeBron James, dont la réception a été plus controversée que prévue. En terminant, Mario Langlois et Hugues Léger s’intéressent à l’évolution du positionnement marketing de la LNH, qui connaît une progression notable, tant sur le plan de l’engagement des partisans que de sa présence sur de nouveaux marchés. Mario Langlois s’entretient avec Jeremy Filosa au sujet de l’actualité sportive marquée par le retour attendu de l’équipe canadienne masculine de soccer à Montréal. Il s’agira d’un match amical face à l’Australie, une première présence de l’équipe nationale dans la métropole en huit ans. Quelques joueurs québécois seront d’ailleurs en vedette dans le onze partant pour ce match, notamment Ismaël Koné, Jonathan David et le gardien Maxime Crépeau, illustrant la contribution croissante du Québec à l’élite du soccer canadien. L’entretien se termine sur une incursion du côté du baseball, alors que Jeremy Filosa commente la performance des Blue Jays en séries. Il revient notamment sur leur prochain affrontement contre le gagnant de la série opposant les Tigers aux Mariners
- Jeff Gorton, vice-président des opérations hockey du Canadien, est plus affamé que jamais! Il se confie à Mario Langlois en premier lieu sur les défis et les apprentissages de la dernière saison. Il évoque avec transparence un début de campagne difficile, mais déterminant, où le leadership de Martin St-Louis a joué un rôle clé : malgré la pression, l’entraîneur-chef est resté exigeant tout en gardant confiance en ses joueurs, qui ont appris à se tenir responsables. Gorton parle aussi de sa vie à Montréal – notamment de ses marches sur le mont Royal – et de ce que cela lui rappelle: la difficulté et la grandeur de jouer en séries. Il insiste sur l’intensité des attentes dans un marché comme celui de Montréal, où St-Louis demeure inévitablement le visage de l’équipe. Il commente également la récente signature de Connor McDavid, qu’il qualifie de contrat qu’il « respecte énormément », et explore ses répercussions potentielles sur les futures négociations, notamment avec Lane Hutson. Il rappelle que lui et Kent Hughes ont mis en place une hiérarchie salariale claire depuis leur arrivée. Malgré la reconstruction, Gorton se dit touché par le soutien constant des partisans et affirme avec conviction: «The future’s bright – that’s the key» «Je pense que nous allons voir le réel potentiel cette année» -José Théodore José Théodore est en grande forme au micro de Mario Langlois, partageant autant ses anecdotes savoureuses que ses opinions bien senties. Entre deux souvenirs d’avant-match – dont sa superstition de manger deux hot-dogs moutarde entre deux périodes– il analyse avec franchise la nouvelle réalité du Canadien de Montréal. Selon lui, le CH entre dans une ère complètement différente : fini l’effet de surprise, cette année l’équipe devra prouver qu’elle appartient à l’élite. Il commente aussi l’utilisation prudente d’Ivan Demidov, affirmant qu’«on ne peut pas donner quelque chose à une recrue qu’il ne mérite pas». José Théodore finit en envoyant un message clair: «Dans tes rétros, il y aura toujours quelqu’un prêt à prendre ta place». Une chance à ne pas rater, oui, mais qui prouve une belle profondeur grandissante chez les hommes de Martin St-Louis!
- Dans une entrevue exclusive accordée au micro de Mario Langlois, Jeff Gorton, vice-président exécutif des opérations hockey du Canadien de Montréal, se livre avec franchise et passion aux Amateurs de Sports. Il revient sur plusieurs moments marquants depuis son arrivée à Montréal et sur les figures clés qui façonnent l’équipe actuelle. Au menu: sa relation avec Kent Hughes et Martin St-Louis, l’expérience acquise durant les séries éliminatoires au printemps passé et le talent impressionnant de Nick Suzuki et des jeunes joueurs de son équipe. Gorton réagit aussi au fait que les Maple Leafs aient sélectionné le Québécois Samuel Blais, dont le nom avait été soumis au ballottage par les Canadiens. Nous plongeons au cœur de l’actualité du Canadien de Montréal avec trois experts: Marc-André Dumont (directeur du développement hockey M18 AAA & analyste RDS), Martin McGuire (voix officielle des Canadiens au Réseau Cogeco) et Dany Dubé (analyste des Canadiens au Réseau Cogeco). Plusieurs points sont abordés, dont l'importance de Joe Veleno, un joueur sous-estimé dans l’équation du CH et de Jake Evans. «Il rend ses coéquipiers meilleurs», affirme Marc-André Dumont. Le trio pose aussi un regard critique sur Kirby Dach: du talent, oui, mais un travail douteux qui inquiète quant à son potentiel à long terme.
- Dans un échange authentique et coloré, Pierre-Yves Lord se livre avec franchise sur sa relation particulière avec le hockey. Tardif dans sa découverte du sport, il admet avoir été plutôt mauvais jeune, mais c’est à 30 ans qu’il a véritablement redécouvert sa passion pour la rondelle. Fan fini des Nordiques à l’origine, il s’est rallié au club le plus près, et voue aujourd’hui un immense respect aux guerriers du CH, notamment Brendan Gallagher : « Ce sont des vrais, ces gars-là. » En compagnie de Pierre Gervais, on plonge aussi dans les coulisses du team bonding, avec une savoureuse anecdote impliquant l’ancien entraîneur Jacques Martin... et un chapeau de fête d’enfants! Gervais insiste sur l’importance de ces moments pour bâtir un esprit d’équipe solide. Il revient aussi sur son passage marquant à Occupation Double, une expérience médiatique qui l’a beaucoup exposé : « Je me sentais observé en revenant au Québec », confie-t-il, tout en nuançant : « Ce n’est pas le diable non plus, mais je ne souhaite pas ça à mes enfants. » En pleine entrevue, surprise en studio : son grand ami Patrick Lagacé débarque à l’improviste! L’anecdote de leur première rencontre est savoureuse — « Je le trouvais un peu baveux », dit Lagacé — et on apprend que Pierre-Yves a même été DJ au mariage de Patrick! L’émission se termine en beauté, plongée dans l’univers musical de Pierre-Yves Lord, ponctuée d’une réflexion personnelle touchante : « J’ai tout à apprendre pour devenir l’homme que je rêve d’être. »
- Dans cette édition animée des Amateurs de sports, Steve Bégin, Tony Marinaro et Stéphane Waite offrent leurs réflexions franches sur l’identité du Canadien et les défis à venir. Steve Bégin insiste sur l’importance de retrouver une vraie identité de « tough » : « On veut être fier, on veut être une équipe qui se défend ». Selon lui, sans esprit d’équipe, personne ne se soutient, et c’est ce qui fait défaut parfois. Il souligne la difficulté d’intégrer un joueur comme Patrik Laine, qu’il considère comme le plus complexe à jumeler dans l’alignement. Néanmoins, il croit que le CH est sur la bonne voie pour s’approcher du cap des 100 points cette saison. Tony Marinaro, fidèle à son style coloré, lance : « On ne gagne pas 20 coupes Stanley avec des gars qui vont à l’église ». Il est catégorique : « C’est garanti 100 points pour les Canadiens », tout en évoquant que même les puissants Panthers pourraient rater les séries, malgré leur profondeur. Stéphane Waite, de son côté, rappelle que le CH avait déjà du succès en saison régulière, mais qu’il est maintenant temps de bâtir une équipe capable d’aller loin en séries. Il veut que Montréal soit un endroit difficile à jouer. Sa principale inquiétude : le middle six, qu’il juge trop faible. Il salue la décision des entraîneurs d’avoir rapidement mis fin à l’expérience Demidov-Dach-Laine, qui, selon lui, ne fonctionnait pas du tout. Il note aussi que chez les Leafs, le nouvel entraîneur-chef dispose enfin d’un groupe à son image : dur, hargneux et intense.
- Martin McGuire revient sur l’ambiance électrique au Centre Vidéotron, où les partisans, encore plus nombreux que jeudi, ont chaleureusement applaudi les joueurs du Canadien lors de leur dernier entraînement du camp. On aborde également l’absence de Zachary Bolduc, exclu de l’entraînement pour des raisons préventives, ce qui a mené à des ajustements dans les trios offensifs. Enfin, l’incertitude plane sur les Sénateurs d’Ottawa : quelle stratégie adopteront-ils et quels joueurs feront le voyage à Montréal? Le Canadien s'entraînera samedi matin au Centre Bell en vue du match face aux Sénateurs en soirée. Jérôme Meary demeure peu connu du grand public, mais dans le monde du soccer professionnel, il dirige un véritable empire. PDG de l’agence Elite Athletes Agency et cofondateur des centres Soccerroof, Meary se définit comme un facilitateur pour les clubs nord-américains. Il a joué un rôle clé dans plusieurs transferts majeurs vers la MLS, notamment ceux de Didier Drogba et Olivier Giroud. Aujourd’hui, aux côtés de ses partenaires Jean-David Tartour et Jonathan Lupinelli, il met son réseau et son expertise au service de l’expansion de Soccerroof, un concept de soccer intérieur en pleine croissance. En entrevue avec Mario Langlois, il n’hésite pas à se prononcer sur plusieurs sujets chauds, dont la situation du CF Montréal. Il nous révèle d’ailleurs plusieurs secrets de coulisses peu rapportés ailleurs… Mario et Jeremy échangent sur les Blue Jays, les Yankees, les Expos et les Nordiques, en soulignant le lien fort qui unit les Québécois à leurs équipes sportives. Ils se penchent sur l’affrontement entre les Blue Jays et les Yankees, en mettant en lumière des joueurs clés comme Vladimir Guerrero Jr., Bo Bichette, Aaron Judge, Giancarlo Stanton, ainsi que l'entraîneur John Schneider et les lanceurs Gausman et Varland. Favoris chez les preneurs aux livres, les Yankees misent sur leur puissance offensive, tandis que les Blue Jays doivent composer avec plusieurs blessures et un déficit de puissance au bâton.
- Écoutez l'essentiel des Amateurs de sports du 2 octobre: Geneviève Jeanson se livre comme rarement auparavant. Ancienne étoile du cyclisme, elle revient sur les abus subis, les coups, la peur de mourir… et ce long silence qui a duré des années. Elle raconte comment, pendant longtemps, elle voyait le visage de son agresseur chaque fois qu’elle se regardait dans un miroir — mais affirme, avec force, que ce n’est plus le cas. Elle confie que ses parents ont découvert une grande partie de son histoire en lisant son livre, car elle ne parlait jamais vraiment de ses souffrances. «J’aurais aimé que quelqu’un dise quelque chose», dit-elle aujourd’hui. À 44 ans, Geneviève affirme être la version la plus authentique d’elle-même. Elle apprend à vivre avec ses secrets, mais dans la lumière, parce que c’est nécessaire. Elle ose désormais faire des choses qui lui font peur – parce que c’est aussi ça, rester en vie. Malgré une pause de 15 ans, elle reste une amatrice de vélo, passionnée et lucide. «On découvre plein de choses dans la noirceur», dit-elle. Et dans cette noirceur, elle a trouvé la force de se relever — et de raconter
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