Écoutez Dany Dubé, qui met la table en vue du match de ce soir entre les Canadiens et les Sénateurs à Ottawa.
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- Au lendemain de la quatrième défaite de la saison des Canadiens de Montréal au compte de 5-4 en tirs de barrage face aux Flyers de Philadelphie, il fallait revoir certains éléments dans le jeu a 5 contre 5. Le succès de l'avantage numérique du Tricolore et le brio de Samuel Montembeault en deuxième et troisième périodes leur ont permis de ramasser un point de classement. Un entraînement de 45 minutes et une petite séance de vidéo en famille, pour y voir plus clair sont venus meubler l'avant-midi des joueurs avant le vol qui les amènera au New Jersey où ils affrontent les Devils, jeudi.
- Les Canadiens de Montréal, actuellement au premier rang dans leur division, affrontent les Flyers de Philadelphie et un certain Christian Dvorak mardi soir. L'ex-attaquant du Tricolore, qui a accepté un contrat de 5,4 M$ pour une saison à Philly, est un centre efficace dont la contribution est loin d'être banale, fait remarquer Dany Dubé. «Depuis qu'il s'est joint aux Flyers, il a transformé le désavantage numérique de l'équipe. L'an passé, c'était l'un des pires, il est devenu l'un des meilleurs. En désavantage numérique, ils ne remportaient même pas 40% des mises en jeu. Ils en gagnent maintenant plus de 55%. Dvorak, c'est un spécialiste.» L'entraîneur-chef du CH, Martin St-Louis, a confirmé que Samuel Montembeault obtiendra un deuxième départ de suite. Autres sujets abordés Christian Dvorak: un leader silencieux; Martin St-Louis veut que Montembeault retrouve son aplomb; Un bon deuxième gardien peut gagner «au moins 15 matchs dans l’année» pour une équipe.
- Saison 3Le Rocket de Laval a su, en quelques saisons à peine, s'imposer comme un club-école d'excellence à travers la Ligue américaine. L'entraîneur-chef, Pascal Vincent, et l'attaquant Alex Belzile, ont témoigné de l'importance de la culture d'équipe dans les succès de la formation lors de leur passage au balado Bon match! présenté devant public au restaurant Gatto Matto de Laval. Même s'il ne ferme pas la porte à un retour derrière le banc d'une équipe du circuit Bettman, où il a notamment travaillé avec les Jets et les Blue Jackets, Pascal Vincent se considère privilégié de diriger une équipe professionnelle dans la ville où il est né. Il dit avoir un profond attachement pour la ville de Laval, mais aussi pour le Québec. Véritable battant, Alex Belzile n'a jamais, de son propre aveu, fait partie des meilleurs. La route a été longue et parsemée d’embûches et de pièges. Il parle de son approche et de l’attitude à avoir pour survivre dans un monde où le talent fait souvent, pour le meilleur et pour le pire, foi de tout. Sans vouloir se projeter trop loin dans le temps, il se verrait très bien devenir entraîneur après sa carrière de joueur. Les sujets abordés: L'énergie de la foule dans une Place Bell presque toujours remplie à pleine capacité; L'organisation mise sur une compétition interne et l'investissement des joueurs; Le travail de l'équipe de recruteurs, menée par Nick Bobrov et Martin Lapointe; La qualité de la banque d'espoirs chez les Canadiens.
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