Le printemps et l’arrivée de l’été ramènent à l’avant-plan les débats entourant les codes vestimentaires dans les écoles.
Selon la chroniqueuse Lise Ravary, cette situation n’est pas nouvelle.
« Chaque année, c’est la même chose. L’été, c’est la bataille à l’école des bretelles spaghettis pour les filles », dit-elle.
« L’argument, qui me fait un peu bidonner, quand même : « Oui, mais il fait chaud. » Il fait chaud pareil avec des bretelles spaghettis. Mais bon, chacun ses croyances. »
« Ça, ce n’est pas nouveau. Il n’y a rien de nouveau là-dedans. Il y a des gens qui s’imaginent que c’est un nouveau phénomène. Ce qui est nouveau, c’est qu’aujourd’hui, j’ai comme l’impression qu’on complique les choses. Certains codes vestimentaires, pour les comprendre, à première vue, ce n’est pas toujours évident. »
La chroniqueuse et l’animateur s’entendent pour dire que des « vérifications » de code vestimentaire comme celle survenue à l’école Pierre-Marquette vendredi dernier ne sont pas acceptables.
Mais Lise Ravary pense que les jeunes tiennent à leur « liberté » vestimentaire « et je les comprends ».
Si elle note que certains pensent que « l’uniforme va tout régler. Ce n’est pas vrai. Ça ne va rien régler. »
On l'écoute...