Les bris de service de transport scolaire à Québec, attribuables à la pénurie de main-d’œuvre, sont loin d'être réglés, alors que la menace de grève s'amplifie.
Jeudi soir, les conducteurs d’Autobus Tremblay & Paradis et d’Autobus B.R. ont voté pour un mandat de grève de 14 jours, qui pourra être utilisé pour le moment propice, selon les informations du Journal de Québec.
Ces deux compagnies d'autobus jaunes s'occupent du transport de 2 700 élèves répartis dans les centres de services scolaires des Découvreurs, de la Capitale, des Navigateurs et de la commission scolaire anglophone Central Québec.
La représente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) pour les chauffeurs d'autobus scolaires a assuré qu'il n'y aura pas de grève avant 2023.
Les chauffeurs demandent des augmentations salariales et plus d’heures de travail.