Dans Le monde de P-A, l'équipe parle du traitement réservé aux vedettes, selon l'endroit dans le monde. P-A raconte que par rapport à l'Europe, entre autres, le Québec fait très bonne figure.
Il se souvient de sa première tournée en Belgique et en France, où il était totalement inconnu là-bas... Mais pas tant que ça, finalement!
La première fois que j'y suis allé, c'était il y a quinze ans à peu près. J'étais pas connu pantoute en Europe et mon premier one man show était même pas sorti; j'étais vraiment pas connu. À la porte de l'hôtel, le matin, à partir de 5h30, il y avait à peu près 100-150 personnes qui commencent à se ramasser. Ils sont obligés de mettre un cordon de sécurité. Nous autres, on était sûrs que c'était pour Anthony [Kavanagh]. Non! C'était pour nous autres. Ils sont là, ils ont des photos de nous autres, puis là tu sors. Il y en a qui ont imprimé des posters, avec des «We love you» et tout ça. Et puis là, tu signes des posters comme si t'étais une méga star de fou, alors que personne ne te connaît!
Accompagné d'Anthony Kavanagh, P-A détaille que ce dernier était déjà une superstar, en Europe, à l'époque. Il était impossible pour lui de faire une sortie, sans se faire harceler.
Anthony, lui, il pouvait même pas ouvrir le store de sa porte, parce que le monde était en bas de son balcon et hurlait à la nuit longue! À la nuit longue!
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