À Montréal, la crise du logement fait redouter le pire pour le 1er juillet. Toutefois, Québec risque de ne pas y échapper...
Bouchard en parle a reçu Danny Caron, directeur général de l'Office municipal d'habitation de Québec, qui mentionne que ce sera aussi difficile dans la capitale.
On s'attend à un 1er juillet qui va être difficile, c'est clair. Le contexte du marché locatif, la rareté du logement abordable, fait en sorte que les options sont beaucoup plus limitées pour les ménages qui demandent du logement. On met tous les moyens nécessaires dont on dispose pour être capable de mieux les accompagner. Ça fait quand même quinze ans qu'on fait ça, mais c'est clair que cette année, on est quand même à 94% d'augmentation par rapport à l'année passée, en termes du nombre de demandes dans les quatre premiers mois de l'année.
Il détaille que la clientèle a évolué avec une présence accrue de jeunes travailleurs, de personnes seules et de femmes monoparentales, souvent non éligibles aux logements subventionnés et consacrant une part importante de leur revenu au logement.
Écoutez l'entrevue complète dans l'extrait ci-dessus.