L'année dernière a été marquante dans l'histoire du Grand Prix du Canada et pas nécessairement pour les bonnes raisons. L'édition 2024 a notamment été marquée par des bévues logistiques, des infiltrations d’eau dans les écuries et la saga des terrasses jugées illégales par le Service de sécurité incendie.
Selon le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, il est impératif pour la pérennité de l'événement que les choses se déroulent parfaitement cette année.
Écoutez Michel Leblanc sur l'importance de la prochaine édition du GP du Canada.
«Ce que je comprends, c'est que les pilotes adorent venir à Montréal, mais ça ne sera pas une décision de pilote. C'est une décision de machine et il faut que Montréal soit à la hauteur. On va se le dire entre nous, la pression est sur la Ville de Montréal parce que c'est eux, l'année dernière, qui avaient commis des erreurs. Cette année, il faut que ça soit nickel.»
Autre sujet abordé:
- Le président du CF Montréal Gabriel Gervais a déclaré lors d'une conférence de presse lundi que le marché montréalais n'était pas prêt à payer les dollars additionnels requis pour intégrer des vedettes internationales au onze Montréalais. Est-ce que Michel Leblanc est d'accord avec la vision de Gervais?