Plusieurs personnes vivant avec des déficiences intellectuelles sont exploitées sur leur milieu de travail dans des programmes initialement conçus pour les aider à développer des compétences socioprofessionnelles.
C'est ce que révélait un article de La Presse paru cette semaine et ramené à l'ordre du jour par la journaliste Isabelle Hachey, qui a dénoncé une situation dont elle a été témoin.
Ces personnes sont souvent sous-payées, ou demeurent de longues années dans un tel programme qui devrait être temporaire.
Écoutez Amélie Duranleau, directrice générale de la Société québécoise de la déficience intellectuelle, discuter de ce sujet préoccupant, mardi, au micro de Geneviève Pettersen.