Après avoir testé la semaine de travail de quatre jours, une entreprise britannique accorde maintenant la pleine autonomie à ses employés. Ceux-ci pourront faire leur semaine de 32 heures répartie... sur sept jours.
En somme, ils travailleront quand bon leur semble du lundi au dimanche.
Cette façon de faire pourrait-elle se répandre dans le monde du travail?
Écoutez Manon Poirier, directrice générale de l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés du Québec, faire le point lundi à Ça va aller loin.
«C'est un message de confiance qui, d'un point de vue ressources humaines, est quelque chose qui plaît et qui est séduisant comme idée. Est-ce que ça peut fonctionner? Eh bien, c'est clairement pas pour toutes les organisations...»