Une récente étude de l’Université Harvard révèle que le lithium, déjà utilisé en psychiatrie depuis les années 1970, pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer, en agissant sur les protéines bêta-amyloïdes et tau.
Les chercheurs ont constaté une carence en lithium dans les cerveaux de personnes atteintes d’Alzheimer, suggérant que des microdoses pourraient freiner la maladie, notamment en prévention chez les personnes à risque génétique.
Écoutez Martin Carli, vulgarisateur scientifique, expliquer le tout, mercredi, au micro du Québec maintenant avec Philippe Cantin.
Fait important: des essais cliniques restent nécessaires avant une utilisation généralisée.