Au micro de Bouchard en parle, écoutez Éric Gingras, président de la CSQ, parler des trois jours de grève à venir pour les employés de l'État et les enseignant(e)s.
«Très loin» d'une entente dans les négociations, un conciliateur a été nommé par Québec, lundi.
La grève de trois jours débutant mardi est toutefois inévitable. De plus, 40% du corps enseignant québécois risque de tomber en grève générale illimitée, après les trois jours de grève. Cela représente plus de 65 000 enseignant(e)s.
C'est exactement avec ça en tête qu'on a demandé la nomination d'un conciliateur qui va dire, là, on va se parler à la table. [C'est] une personne neutre qui va parler aux deux parties, à la place de se parler à coup de publications sur les médias sociaux. Et ça, c'est important. Et vous savez, vous l'avez nommé, les contribuables, c'est eux qui mettent de l'argent sur la table, c'est eux qui sont affectés par les services.
Écoutez l'entrevue complète dans l'extrait ci-dessus.