Alex Tétreault et Pascale Picard analysent un dossier de La Presse dans lequel on apprend que le Centre canadien de protection de l'enfance fait état de 1279 jeunes Canadiens entre 13 et 17 ans, qui ont été victimes de cyberviolence sexuelle, principalement via Snapchat, Messenger, WhatsApp et Instagram.
Les prédateurs amorcent souvent le contact sur des plateformes jugées inoffensives comme YouTube ou des jeux en ligne, puis migrent vers des applications de messagerie.
Le rapport souligne la faible utilisation du contrôle parental et recommande la sensibilisation, la discussion parent-enfant et la compréhension des applications pour mieux protéger les jeunes.
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