Adversité, racisme, père violent, l'anxiété de l'homme fort... Georges Laraque se confie sur son parcours improbable vers la LNH, son sens de l'honneur et pourquoi la critique ne peut plus l'atteindre, vendredi soir à Ça sent la coupe.
La conversation a rapidement basculé dans un témoignage puissant: Georges Laraque a révélé que les émotions et le danger du métier l'obligeaient à être un «boute-en-train» pour «décrocher» du stress, qui a malheureusement mené d'autres hommes forts à l'alcool ou à la drogue.
La discussion a eu lieu autour de deux excellentes bouteilles de vin rouge:
Le Grand cru: un Caymus (le vin préféré de Georges Laraque) vineyards 1994 Napa Valley Cabernet Sauvignon.
La bouteille au meilleur rapport qualité-prix, selon Pierre Gervais: le Château du Grand Caumont Corbières Impatience 2022.
Écoutez la personnalité médiatique, homme d'affaires et ex-joueur de la LNH parler de sa vie et de sa carrière, vendredi, à Ça sent la coupe, avec Pierre Gervais et Mario Langlois.
Sujets abordés:
- Ayant grandi à Sorel, il a été confronté au racisme quotidien et a dû faire son chemin au hockey seul;
- Son père violent;
- Comment il est devenu un homme fort au hockey;
- Son plus beau souvenir: la Coupe Memorial en 1995 avec les Prédateurs de Granby;
- Son plus beau but en carrière (avec les Canadiens);
- Ses plus grands adversaires;
- La santé de son cerveau, à la suite de ses nombreux combats;
- Sa décision de devenir végane en 2009;
- Sa vie de famille, ses activités médiatiques, et bien plus.
«Le plus gros obstacle de ma vie, c'est d'avoir joué dans la ligue nationale. Le restant, tout ce que je fais aujourd'hui, il n'y a absolument rien [aucune critique] qui peut m'affecter.»