Paul Arcand revient sur l'approvisionnement en vaccins contre la COVID-19 et les mesures du fédéral aux frontières avec Jean-Yves Duclos, président du Conseil du Trésor. Nos commissaires discutent d’une possible annulation de la semaine de relâche. Le point avec une journaliste en Italie sur l’ouverture d’un des plus importants procès contre la mafia Calabraise.
À l’occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la décision de l’Alliance des professeures et des professeurs de Montréal de défendre les enseignants de l’école Bedford dont le brevet d'enseignement a été révoqué.
Selon le Journal de Montréal, le syndicat affirme que le processus d’enquête a été vicié. Il compte donc appuyer ceux qui souhaitent contester la décision.
Rappelons que 11 enseignants avaient été suspendus après une enquête administrative en raison du climat toxique à l’école Bedford. Le ministère de l’Éducation n’a pas voulu préciser combien d’enseignants ont vu leur brevet être révoqué.
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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit à la possibilité de voir le gouvernement fédéral forcer ses fonctionnaires à retourner au bureau cinq jours par semaine d’ici janvier 2027.
Ce scénario, qui se retrouve dans un document interne du Secrétariat du Conseil du Trésor consulté par La Presse, marquerait une rupture avec la politique actuelle de travail hybride.
Le plan envisagé par Ottawa prévoit une transition progressive. Dès le 1er janvier prochain, les hauts cadres de la fonction publique devraient être les premiers à revenir au bureau à temps plein.
Les autres travailleurs de l’État devraient ensuite augmenter leur présence à quatre jours par semaine en juillet 2026, avant d'atteindre le retour complet, le 1er janvier 2027.
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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente la démission fracassante du ministre Steven Guilbeault, principal architecte des politiques de lutte contre les changements climatiques.
L'ancien militant écologiste, qui était ministre de l'Identité et de la Culture canadiennes, se dit en « profond désaccord » avec la récente entente conclue par le premier ministre Mark Carney avec l'Alberta.
Cette entente ouvre la voie à la construction d'un nouvel oléoduc reliant l’Alberta au nord de la Colombie-Britannique.
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