La revue de presse de Paul Arcand. Les services ambulanciers, le va-et-vient des médecins entre le réseau public et le secteur privé, le remboursement de l’Ozempic : de nombreux dossiers abordés avec le ministre Christian Dubé. Saisie d’une centaine d’armes à Gatineau et vols de voitures au port de Montréal : entrevue avec Adriano Giannini de l’Agence des services frontaliers du Canada. Fin du Panier Bleu : l’entrepreneur François Lambert critique la plateforme depuis sa création. La première canadienne de Dune : Part Two a lieu à Montréal hier soir : on en discute avec le réalisateur, Denis Villeneuve.
«Pour le moment, on n’ajoute aucune ambulance.» - Christian Dubé, ministre de la Santé
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- À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde le cas de François Legault et de la CAQ, alors qu'un dernier sondage Léger démontre qu'il n'a jamais été aussi impopulaire. «Hier, je voyais des commentaires de gens qui disent qu'il est en train de faire l'erreur de Justin Trudeau, qui s'est accroché jusqu'à la toute fin, qui n'a pas servi les intérêts de son parti, qu'il n'a pensé qu'à lui-même... question d'ego. Monsieur Legault devrait lever les feutres et permettre à quelqu'un de prendre sa place!» Il traite ainsi des coupures massives de 570 millions de dollars que souhaite imposer son gouvernement, à la dernière minute, «en camitini», en éducation. Paul Arcand détaille les inquiétudes des intervenants du milieu, alors que l'Éducation ne semble plus la première priorité du gouvernement de la CAQ et que les coupures brutales qui sont actuellement imposées impacteront principalement les élèves en difficulté. Il présente aussi deux témoignages de deux professionnelles qui démontrent à quel point ses coupures vont avoir des conséquences sur le système d'éducation public. Autres sujets traités: Insultes, menaces, accrochage, le procès de Gilbert Rozon dérape; Les banques commencent à imposer le travail au bureau au moins 4 jours par semaine; Walmart préfère nous vendre des fraises du Mexique et de la Californie.
- À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit aux restrictions budgétaires de 570 millions de dollars imposées par le gouvernement de François Legault en éducation. Ces coupures vont directement affecter les services aux enfants. «Des directeurs, enseignants et parents m'écrivent. Ils sont inquiets, affirme Paul Arcand. Il y a comme un consensus. On trouve ça effrayant. De le faire à ce moment-ci de l'année, alors que les gens partent en vacances et que ça doit s'appliquer pour la prochaine rentrée, il y a quelque chose d'hypocrite et d'odieux de la part du gouvernement Legault et du ministre Bernard Drainville sur cette question.» «Je ne veux pas avoir l'air pessimiste pour la rentrée, mais ce n'est pas parce qu'on a donné de bons salaires aux profs que c'est une idée géniale de les dépouiller des moyens nécessaires et du soutien de professionnels pour aider des enfants qui sont de plus en plus à besoins particuliers.» Autres sujets abordés ⦁ Sondage: la CAQ s’effondre, libéraux et péquistes en face à face;⦁ Gilbert Rozon affirme qu’il n’est pas un violeur et qu’il est victime des rumeurs et des mensonges;⦁ Denis Villeneuve va réaliser le prochain James Bond.
- À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit au décès de son ami, l'auteur-compositeur-interprète québécois, Serge Fiori, à 73 ans. Le cofondateur du groupe mythique Harmonium a rendu l'âme mardi matin à sa résidence de Saint-Henri-de-Taillon au Lac St-Jean. «Il s'est éteint le jour de la fête nationale. C'est plus qu'une coïncidence, il y a quelque chose de symbolique de voir ce géant disparaître alors qu'on célèbre le Québec. Serge a été victime d'une crise cardiaque. Il faut dire qu'il était malade, sérieusement malade depuis plusieurs mois [...] Depuis hier, on écoute sa musique...» «C'était un gars qui ne faisait pas de compromis, un homme qui avait une ligne droite dans ses choix de carrière. Il a renoncé à des sommes d'argent importantes. Il aurait pu faire beaucoup, beaucoup de fric, mais pour des raisons de santé et de principes, il a dit non.» «J'étais, et je suis encore, un fan fini de Serge Fiori, d'Harmonium, de cette oeuvre musicale magistrale [...] Les mélodies, les paroles se sont inscrites dans notre mémoire collective...» Paul Arcand consacre ainsi une bonne partie de sa revue de presse au décès de ce monument de la musique québécoise et explique, au fil d'anecdotes, comment leurs chemins se sont croisés afin de «développer une une amitié improbable». Autres sujets abordés La vague de grande chaleur est terminée; Une paix fragile entre Israël et l’Iran; Danièle Sauvageau intronisée au Temple de la Renommée du hockey, mais pas Carey Price.
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