Une entreprise immobilière de Québec a été condamnée par le Tribunal des droits de la personne à verser 7 000 $ à une plaignante atteinte de stress post-traumatique, pour avoir refusé de lui louer un logement en raison de son chien d’assistance.
Le débat qui en suit souligne l’absence de réglementation officielle au Québec concernant la certification des chiens d’assistance, ce qui facilite l’obtention de fausses accréditations et complique la vérification pour les propriétaires.
Écoutez la discussion à ce sujet à Dupont le matin, lundi, avec l'équipe de Dupont le matin.